Error 404 : brain not found. C’est sur ces sages mots et après avoir franchi une porte couverte d’animaux en peluches sacrifiés à un dieu maléfique que nous rencontrons La ménagerie. Bande de joyeux lurons composée de quatre filles et d’un seul garçon venus tester leurs compétences ici-même au FF1J.
Contrairement à la plupart des équipes, ce n’est pas leur école qui les réunit, mais leur origine Franc-Comtoise commune. En effet, les membres de La ménagerie se sont éparpillés en France (Trois écoles différentes à Paris, une à Caen) et même jusqu’en Angleterre.
Que sont-ils venus chercher au FF1J ? La gloire et la reconnaissance éternelle des foules, cela semble évident. Mais en attendant que leurs plans machiavéliques aboutissent, il leur est nécessaire de relever le défi des 50 heures.
L’ambiance est sobre malgré quelques détails étranges comme un nombre impressionnant de fonds d’écrans évocateurs qui rappelle que ces êtres se sont élevés vers un plan d’existence supérieur pour faire face à ce grand événement (qui se transformera peut-être samedi en avènement).
« Pour le moment, nous ne cherchons pas à gagner, mais une fois dans les fauteuils de cinéma, samedi soir, on en aura forcément envie. » déclarent-ils.
Vous l’aurez compris, cette ménagerie n’est pas là pour beurrer des sandwichs et il faudrait faire attention de ne pas se prendre une flèche dans le genou (Arrow in the knee, pour les plus anglophiles d’entre nous) au détour de leur antre.
D’ailleurs leur mot de la fin devrait en faire réfléchir plus d’un : « Éclair à la carotte ! »