Catégorie : Non classé

Il est tard, il ne nous reste plus qu'à recueillir le récit de tournage des membres du Studio, qui jouent volontier le jeu malgré la fatigue infligée par cette intense journée. Premier problème rencontré aujourd'hui, une caméra qui ne marchait pas. Ils ont donc dû terminer à "la petite caméra". Lorsqu'on leur a demandé quels étaient les points positifs de la journée, ils nous ont entre autres parlé de leur chauffeur, qui les a aidés à trouver costumes, figurants et lieux de tournage. Autre agréable surprise : les commerçants. Il n'a pas fallu insister beaucoup pour trouver un bar acceptant de les laisser tourner pendant près de 2h30. Le franc-comtois serait-il particulièrement accueillant ? Au sujet du film, on connait les grandes lignes : Il s'agit d'une personne dont la…

Montbéliard accueille le FF1J, mais Montbéliard participe également au FF1J ! L'équipe du Lycée Viette a axé son scénario autour d'une femme de ménage dans un hôpital de campagne. Accompagnés d'un des pilotes bénévoles du FF1J, l'équipe a passé sa journée de tournage sur Montbéliard et ses alentours. Les Blue Velviette tournaient une scène d'ouverture violente de portes battantes, quand nous les avons croisés dans les couloirs de l'UTBM. Si cette prise s'est plutôt bien passée, les membres de l'équipe ont eu plus de mal avec une scène de nettoyage à la serpillère qui a transformé le hall d'entrée en pataugeoire.

C'est dans les locaux de l'UTBM de Montbéliard que l'équipe nantaise CNT-CNC a bien voulu répondre à nos questions. En effet, leur court-métrage, racontant l'histoire d'un type qui décide d'arrêter de se laisser marcher sur les pieds, est tourné en grande partie en intérieur (notamment chez leur pilote, à Belfort). Cette équipe a une imagination débordante, au point de débattre longuement sur la façon d'assommer l'un des personnages. Elle n'a d'ailleurs commencé à tourner ses premiers plans qu'au milieu de la nuit, une fois le scénario esquissé. Pour leur première participation au FF1J, cette équipe de Centrale Nantes montre une bonne résistance au sommeil, tout en conservant leur bonne humeur.

Je suis parti avec le Clap pour assister au tournage de leur scène finale dans un bar du centre de Montbéliard, et j'avoue que leur journée a été plus que longue et mouvementée. Partis à 5h du matin pour aller tourner une scène au bord d'un lac isolé au lever du soleil, ils ne sont rentrés à Montbéliard pour manger seulement à 17h. Une longue journée sans manger au service de leur court métrage. Extrêmement déçus par le beau temps qui ne s'est pas présenté au bon moment, ils ont tout de même pu se consoler en partageant l'apéro chez les gens chez qui ils ont pu tourner une bonne partie de leur film. Un grand merci aux francs-comtois pour leur accueil ! Grâce à leur pilote de choc qui…