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C'est beau la jeunesse... On peut faire des batailles de pommes et de tomates...

La nuit a été rude, avec son lot de surprises plus ou moins bonnes.Depuis le début de la nuit, les équipes s'affairent à finaliser leurs créations qui, d'après nos sources, sont très originales voir vraiment particulières. Dans un souci de respect, nous n'entrerons pas dans leurs salles respectives afin de collecter quelques informations sur leur état d'esprit ou leur avancement. (Sauf si celles-ci le souhaitent et dans ce cas, nous préviennent.) Mais ne vous inquiétez pas, l'équipe Com' continuera à publier des articles malgré le peu d'info' dont elle dispose.

Le soleil devait se lever à 6h08 hier matin, mais notre merveilleuse équipe logistique ne l'a pas attendu pour s'activer. A 6h pile, ils s'affairaient déjà à la préparation de délicieux sandwichs. Et autant vous dire qu'avec le thème de cette année, les participants en avaient bien besoin... Alors encore une fois, merci à la restauration (et aux autres aussi, mais leur moment de gloire viendra). C'est en partie grâce à eux que les participants peuvent se secouer pendant ces 50 heures.

Pour ce 5ème Festival du film d'un jour, Thibaut Boutserin nous à réalisé de superbes trophées. Ces 5 trophées vont venir récompenser les différentes réalisations des 14 équipes. Sur la photo ci-dessus, vous trouverez de gauche à droite : Le prix Coup d'coeur du public Le prix de la meilleure photographie Le prix Chrono d'or Le prix du meilleur scénario Le prix spécial du jury Ci-dessous, le prix Coup d'coeur du public

C'est au centre ville que nous avons rencontré l'équipe des "Enormous Pélicans" (après les avoir cherché pendant bien une demi-heure, merci Marie). Pour changer des habitudes de l'acteur principal de leur court-métrage, la scène se passe torse-nu. Des roues changées, des histoires de concierge... ça change des cagoules et des armes à feux.

Cet après midi nous avons pu suivre les Pousse de poils sur la lèvre supérieure. Ils ont tourné sur Belfort, voici quelques extraits...

C'est à la sortie du lit que nous retrouvons l'équipe de Polytec'Lille: "Le Studio". Dans l'appartement de leur pilote, ils s'attardent à tourner l'une des dernières scènes de leur court métrage. C'est avec une attitude des plus zen qu'il soit qu'ils ont accepté de répondre à nos questions. L'équipe "Le Studio" revient pour la deuxième fois avec une équipe a 90% renouvelée pour vivre ces 50 heures. Le scénario n'a pas vraiment été un problème, ils se sont même appliqués à la rédaction d'un script. Après quelques heures, ils ont commencé le tournage sous l'UTBM de Sevenans. Malgré les aléas de la technique (et des formats vidéos), et un soupçon de bataille de T-shirt mouillé (ils nous ont promis des explications samedi!! ) le tournage avance et laisse place à…

Nous voici maintenant partis à la vieille ville de Belfort. Nous mettons peu de temps à trouver l'appartement au pied des remparts qui sert de lieu de tournage pour l'équipe du Winmad. Arrivé dans le hall l'ambiance est donnée, une odeur de chat parfume ce lieu ressortit tout droit d'un film des années 70. C'est un véritable flashback qui s'offre à nous. Au deuxième étage nous sonnons. Aucune réponse ne nous parvient. Alors, tel des acteurs de film gore de seconde zone, nous décidons de pousser la porte qui, étonnamment, est restée ouverte. Avec un manque de confiance apparent nous explorons ce lieu à la recherche d'un signe de vie. Rien. Pas même une trace. Un vrai mystère qui nous pousse à repartir sans autres informations que  quelques clichés. Déçus…

C'est avec l'accord du gérant du café-restaurant le "Boulevard", que l'équipe "CNT-CNC" a commencé à tourner en ce début d'après midi. Arrivés avant les journalistes de l'Est Républicain, certains membres du groupe ont décidé de prendre un petit "noir", en remerciement à M.Tasci qui leur a gentiment confié ses locaux. Pendant ce temps, d'autres s'affairent à mettre en place ce lieu de tournage improvisé pour l'occasion. Après une attente de seulement 5 minutes, chose rare pour être soulignée,  l'interview peut commencer. Une interview un peu à la sauvette, entre deux vissages de boulon. Cet entretien, effectué par la rédactrice de l'est républicain, Mme Elisabeth Becker, assistée de la photographe Christine Dumas, nous a permis de nous rendre compte de l'importance et du temps nécessaire à la phase de réalisation. De plus,…